Et quand il pleuvait ? Et quand c’était le soir ? Que faisaient donc les enfants calédoniens du début du siècle dernier ?
A partir de 1947, le Primus à gaz de pétrole, est remplacé par le Perfection.
La "poupée de Rosette". Elle a plus d’un siècle.
Les confitures du Mont-Mou, passées du stade artisanal à celui de semi-industriel et conditionnées dans des boîtes de Ouaco
Les calédoniens ont développé un vocabulaire bien particulier pour désigner les récipients qui leur permettaient de conserver ou de transporter l’eau.
Cubiques ou rondes, elles dominaient la plupart des constructions, au temps où, faute de conduites et de surpresseurs, l'eau arrivait au robinet par gravité.
La chasse étant une activité primordiale pour nourrir la famille, il leur fallait à tout moment pouvoir disposer de munitions.
Parmi les objets ayant appartenu à James Paddon, figurent notamment des instruments de navigation
Petite revue non exhaustive des jeux d'autrefois, au début des années 1900.
Les fonderies d’hier, quand la Calédonie façonnait au lieu d’importer.
Il y a 50 ans, la plupart des chaussures étaient fabriquées localement.
La femme calédonienne avait la charge de l’habillement de son mari et de ses enfants.
Les chapeaux étaient, jusqu'au milieu du siècle dernier, des pièces importantes de la tenue vestimentaire.
Une salle de classe comme il y a quarante ou cinquante ans.
Des sels d’argent et du "collodion humide" aux pixels numériques d’aujourd’hui, quelle métamorphose !
Voyage rétro au pays de la blanchisserie
Depuis 1858, l’histoire de la presse et de l’imprimerie calédoniennes est étroitement liée.
Avant l'ère du béton et de l'aluminium, ces artisans ont longtemps constitué un corps de métier indispensable et respecté.
Bienvenue à l'époque du patronage ou, un peu plus tôt encore, à celle de la chasse, de la pêche et de la baignade.
La glacière était l’indispensable complément du garde-manger. La glace en pains était livrée à domicile.
Au tout début était la bougie. C’est ainsi que s’éclairaient les premiers Nouméens..
Le 13 mars de cette même année, les rues du centre-ville de Nouméa ont été éclairées avec des lampes à gaz.
L’aventure calédonienne de l’électricité est étroitement liée à l’histoire de l’aviation.
L’histoire calédonienne des carburants commence en 1916, avec l’importation des premiers fûts de pétrole par la compagnie Vaccum oil.
Certains bateaux de pêche, appelés côtres, étaient équipés de viviers destinés à maintenir le poisson vivant jusqu’au retour à terre.
Deux fois par semaine, les boucheries Ballande, Peyrolle, Montier ou Vincent de Casteljau assuraient le ravitaillement de la population.
Plusieurs familles calédoniennes assuraient la production qui servait à fabriquer beurre, crème ou fromage blanc.
Importée par les militaires au XIXe siècle, l’escrime calédonienne a connu ses heures de gloire, ses duels et ses heures sombres.
Dans la première moitié du XXe siècle, la corvée de linge portait bien son nom : il fallait frotter les pièces sur une planche, les battre avant de les rincer à la main.
Il y a 70 ans, bien avant la banalisation du transistor, le seul moyen d’entendre les informations du monde était le poste à galène..
Avant l’électricité, avant l’ère du Frigidaire, ces dames utilisaient le garde-manger et quelques-uns de leurs appareils ménagers étaient… à manivelle.